Le problème quand on n'écrit pas tout de suite à la fin d'un roman c'est qu'on manque de mots pour retranscrire ce que l'on a ressenti. Et c'est malheureusement ce qu'il se passe avec ce livre que j'ai pourtant, tant adoré :
Un jour, me baladant sur le blog de Juliette, Je ne sais pas choisir, je tombe sur ce livre, et je ne sais pourquoi tout m'a attiré dans ce roman. J'ai foncé l'acheter chez mon fournisseur principal de livres (petite pub au passage, oups!, j'aime laisser les étiquettes parfois, elles contribuent au charme du livre je trouve).
Et dès les premières lignes lues, j'ai compris pourquoi ce roman m'avait attiré. Une écriture légère du détail absurde mais qui fait toute la différence. J'aime ces auteurs qui font des tous petits riens de grands tout.
L'histoire d'une jeune femme chic, beige, coincée qui va déjeuner tous les midis sur la tombe de son mari et d'un homme de la campagne bourru, mal fagoté qui s'occupe d'une tombe décorée avec mauvais gout, que tout sépare et qui pourtant vont se réunir grâce à un simple sourire.
Le choc des cultures, les prémices de l'amour, la fantaisie, le choix des mots, d'écriture... tout m'a plu dans ce roman original et frais qui apporte beaucoup de fraicheur. La fin un peu étrange aux premiers abords, n'est qu'en fait une suite logique à cette histoire de ces deux êtres fantasques qui s'harmonisent contre toute attente.
C'est vraiment dommage pour moi de ne plus être plongée dans cet atmosphère, je manque de mots pour décrire tout ce que j'ai aimé, et ainsi vous donner l'envie de le découvrir, si ce n'est déjà fait. Je m'en veux d'être si peu précise. Il a été pour moi telle une bouffée d'oxygène, comme les premiers rayons du soleil au printemps. Une sensation proche de celle de l'air qui vient caresser vos cheveux, et les feuilles dans l'arbre.Il nous invite à croire, pendant un temps, que l'amour suffit pour tout surmonter, tout dépasser. Et même lorsque la réalité, les difficultés à s'accommoder des différences de l'autre, refont surface, Katarina Mazetti use de mot si simples, de phrases si naïves, de petits détails qui font toute la différence, le roman reste plein de fraîcheur dans la difficulté.
Un roman qui fait partie de ma réinsertion dans le monde de la lecture, autant dire que je suis ravie de mon choix pour m'encourager à lire plus régulièrement.
Un jour, me baladant sur le blog de Juliette, Je ne sais pas choisir, je tombe sur ce livre, et je ne sais pourquoi tout m'a attiré dans ce roman. J'ai foncé l'acheter chez mon fournisseur principal de livres (petite pub au passage, oups!, j'aime laisser les étiquettes parfois, elles contribuent au charme du livre je trouve).
Et dès les premières lignes lues, j'ai compris pourquoi ce roman m'avait attiré. Une écriture légère du détail absurde mais qui fait toute la différence. J'aime ces auteurs qui font des tous petits riens de grands tout.
L'histoire d'une jeune femme chic, beige, coincée qui va déjeuner tous les midis sur la tombe de son mari et d'un homme de la campagne bourru, mal fagoté qui s'occupe d'une tombe décorée avec mauvais gout, que tout sépare et qui pourtant vont se réunir grâce à un simple sourire.
Le choc des cultures, les prémices de l'amour, la fantaisie, le choix des mots, d'écriture... tout m'a plu dans ce roman original et frais qui apporte beaucoup de fraicheur. La fin un peu étrange aux premiers abords, n'est qu'en fait une suite logique à cette histoire de ces deux êtres fantasques qui s'harmonisent contre toute attente.
C'est vraiment dommage pour moi de ne plus être plongée dans cet atmosphère, je manque de mots pour décrire tout ce que j'ai aimé, et ainsi vous donner l'envie de le découvrir, si ce n'est déjà fait. Je m'en veux d'être si peu précise. Il a été pour moi telle une bouffée d'oxygène, comme les premiers rayons du soleil au printemps. Une sensation proche de celle de l'air qui vient caresser vos cheveux, et les feuilles dans l'arbre.Il nous invite à croire, pendant un temps, que l'amour suffit pour tout surmonter, tout dépasser. Et même lorsque la réalité, les difficultés à s'accommoder des différences de l'autre, refont surface, Katarina Mazetti use de mot si simples, de phrases si naïves, de petits détails qui font toute la différence, le roman reste plein de fraîcheur dans la difficulté.
Un roman qui fait partie de ma réinsertion dans le monde de la lecture, autant dire que je suis ravie de mon choix pour m'encourager à lire plus régulièrement.
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